L’optimisme s’étiole, les émetteurs opportunistes se pressent !

lors que le printemps vient d’arriver et que la diffusion progressive des vaccins anti-covid laisse espérer des jours meilleurs, les marchés financiers commencent eux à trouver le temps long … Après avoir anticipé la sortie de crise dès le T4 2020 et la relance, voire la surchauffe, au T1 2021, les nouvelles vagues de contamination dans certains pays et les chiffres économiques, évidemment fantastiques en relatif (l’effet de base jouant à plein) mais finalement modérés, commencent à émousser leur optimisme naturel…

Ainsi, sur le marché obligataire :

– les taux souverains européens, menés par le Bund, actif de protection par excellence, ont commencé à refluer après la petite hausse du début d’année.

– les indices high yield, ont freiné leur ascension pour offrir une performance quasi-étale sur la seconde partie du trimestre.

Dans ce contexte, les investisseurs les plus agiles ont pu établir quelques premières bascules de portefeuilles, profitant des inquiétudes des foules sur les ta..

Après la pandémie de Covid-19, qu’est-ce qui attend les pays émergents ?

La pandémie de Covid a touché les pays des marchés émergents à des degrés divers. Nous nous demandons pourquoi certains s’en sont mieux sortis que d’autres. Nous passons également en revue les perspectives des économies émergentes et examinons quelles pourraient être les meilleures opportunités d’investissement.

Des sorts contrastés
Après avoir été à l’origine du mouvement de vente initial de 2020, provoqué par le Covid, les marchés émergents se sont bien comportés lors du rebond qui a suivi. En tant que groupe, ils ont affiché de solides gains pour 2020, surperformant leurs homologues des marchés développés. Mais ces résultats cachent de grandes disparités de performance entre les pays des marchés émergents et les classes d’actifs.

Les flux erratiques d’investisseurs étrangers, un indicateur clé de la confiance des investisseurs dans les actifs des pays émergents.
En ce qui concerne la dette émergente, l’afflux de fonds étrangers a chuté au début de la pandémie en mars, mais s’est e..

Tour d’horizon du Private Equity ou Capital Risque

Les épargnants français sont habitués à investir dans des entreprises cotées en bourse, soit en direct, soit via des fonds d’investissement (ou OPCVM). Aujourd’hui, nous avons demandé à Nicolas Boutry, Partner Olifan Group et Responsable de l’Expertise Investissement Financier, et Michel Liberatore, Partner Olifan Group basé à Grenoble, de nous parler de leur pratique du « Private Equity ». Aussi appelé capital risque ou capital investissement dans sa version française, il s’agit de l’investissement dans des entreprises non cotées. Ce type d’investissement, pendant longtemps réservé aux investisseurs institutionnels et aux grandes fortunes, présente de nombreux avantages pour nos clients privés dans la construction de leur patrimoine.

Pour commencer, diriez-vous que le capital investissement est un investissement et / ou un accompagnement dans le développement des entreprises ?
Pour partir d’une définition globale et simple, disons que le Private Equity est une prise de participation,..