Parmi les règles du jeu dans le domaine des cryptomonnaies figure l’étape tout sauf facultative de la déclaration annuelle des plus-values. Une opération souvent présentée comme désagréable, mais qui s’accompagne néanmoins de la réalisation nécessaire et effective de bénéfices. Un point positif qui a cependant toujours un peu de mal à faire passer cette pilule fiscale. Surtout lorsque leur calcul s’apparente bien plus à un contrôle de math sans le professeur pour donner les conseils et astuces à appliquer. Et toute erreur dans le domaine peut entraîner des complications que personne n’a envie de découvrir.
Lorsqu’arrive la période de la déclaration fiscale, les bénéfices engrangés prennent d’un coup un caractère beaucoup moins festif. Cela surtout en ce qui concerne le calcul et la déclaration des plus-values. Un exercice que les services des impôts semblent aimer à transformer en véritable casse-tête. Tout particulièrement du fait de la méthode de calcul qui y est appliquée. Et qui ne s’embarrasse ni de simplicité ni d’une quelconque volonté d’accessibilité au plus grand nombre.
Une procédure complexe dont le bon déroulement se termine par une taxation qui va engloutir environ 30% de vos bénéfices. Et qui doit débuter par la définition du statut auquel chaque investisseur est censé appartenir. Ce qui entre la plupart du temps dans une activité de type occasionnelle. Mais qui peut selon sa fréquence et les outils de trading et produits dérivés utilisés est considérée comme régulière. Et qui fait de l’investisseur régulier un trader de type professionnel.
Source : cryptoactu.com