Maîtriser sa politique tarifaire pour préserver sa rentabilité

Afin de conserver leurs capacités bénéficiaires et continuer à créer de la valeur sur le long terme, les entreprises doivent être en mesure de maîtriser pleinement leur politique tarifaire. Dans un contexte de hausse des matières premières, réussir à répercuter ces coûts et, donc, à imposer des hausses de prix constitue un levier primordial pour préserver sa rentabilité.

Les profondes mutations qui traversent nos économies contraignent les entreprises, plus que jamais, à mettre en œuvre une stratégie de croissance autonome afin d’être capable de faire grandir leur marché adressable. Une condition sine qua non pour être en mesure de continuer à créer de la valeur sur le long terme et, ainsi, maintenir ses positions sur le marché. Au-delà du climat d’hyperconcurrence à l’œuvre depuis des années, les chefs d’entreprises doivent également faire face à des tendances de fond qui rebattent profondément les cartes : digitalisation croissante des circuits de distribution et explosion de l’e-co..

Après des mois de bataille, Veolia va racheter Suez

Veolia et Suez ont annoncé être parvenus à un accord en vue d’un rapprochement, mettant un terme à plusieurs mois de bataille financière, médiatique et judiciaire entre ces deux groupes français présents dans l’eau et les déchets. Le prix finalement retenu valorise l’ensemble de Suez à environ 13 milliards d’euros.

Cela pourrait signer l’épilogue d’une bataille acharnée, longue de plusieurs mois. Veolia et Suez ont annoncé ce lundi 12 avril avoir conclu dimanche soir un accord de principe sur les principaux termes et conditions du rapprochement entre les deux groupes.

Ils se sont notamment mis d’accord sur un prix d’achat de 20,50 euros par action Suez, alors que Veolia proposait initialement 18 euros, un montant jugé insuffisant par son rival.

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Source : La Tribune

[Eco du Matin] “Un vent mauvais arrive sur l’inflation”

Pandémie : Alors que le nombre des contagions semblent se tasser voire s’inverser en Europe, on constate que celles-ci continuent à progresser dans le monde notamment en Amérique Latine et en Inde, toujours pour la même raison, la forte circulation des variants. Dans l’Union Européenne, on devrait par ailleurs voire progresser assez rapidement le nombre de vaccinations dans les semaines à venir, notamment grâce à un accroissement notable des approvisionnements en vaccins.

Politique : Comme anticipé, il y aura bien une bataille pour la succession de Mme Merkel à la chancellerie allemande en Septembre prochain entre le chef de file de la CSU, Markus Soeder, et Armin Laschet, récemment élu à la tête de la CDU. En effet, les deux dirigeants ont annoncé dimanche leur candidature. Les reculs récents de la CDU dans des élections régionales mettent A. Laschet en difficulté. Pour l’instant, même si on a vu la progression des verts dans l’électorat, il est difficile de voir comment la chancelle..

[Le marché du lundi] Vote « climat » aux assemblées générales : bilan et tendances

Institutionnal Shareholder Services (ISS), première agence mondiale de conseil en votes, vient de publier un rapport sur la prise en compte du climat dans les votes aux assemblées générales des 12 principaux pays mondiaux.

Neuf marchés ont présenté des résolutions d’actionnaires liées au climat en 2020 : Australie, Canada, France, Japon, Norvège, Afrique du Sud, Espagne, Royaume-Uni et États-Unis. Une grande partie de celles-ci (60 au total) a été impulsée par Climate Action 100+, une coalition d’investisseurs lancée fin 2017 qui compte désormais plus de 570 investisseurs et plus de 54 000 milliards de dollars d’actifs sous gestion. La coalition demande aux entreprises de mettre en œuvre des mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), en conformité avec les objectifs de l’Accord de Paris visant à limiter le réchauffement en deçà de 2 degrés, et de fournir des informations précises pour permettre aux investisseurs d’évaluer la solidité des plans climat des entrepr..

A quand un ETF thématique sur le Smart Farming ?

Les origines du Smart Farming remontent au milieu des années 1990 lorsque le spécialiste des véhicules agricoles John Deere a équipé ses tracteurs haut de gamme de capteurs GPS et de logiciels embarqués pour « diriger automatiquement la carte des cultures en réduisant les erreurs et en augmentant ainsi le rendement des cultures grâce à la réduction du gaspillage de semences, à l’utilisation optimale des engrais et du fumier, du carburant et du temps. Cela a ouvert la voie à une industrie à part entière. »

Les objectifs se sont désormais multipliés, et la recherche d’une rentabilité accrue est complétée par des objectifs environnementaux, d’économie de ressources, et de minimisation de l’emploi de pesticides. M. Plassard résume les cinq objectifs principaux du Smart Farming :

La rentabilité en réduisant les coûts et en augmentant l‘efficience ;
L’amélioration de la qualité en réduisant par exemple l’emploi d’antibiotiques ;
La minimisation des émissions pour notamment protéger les eau..