Est-ce la fin de la diversification ?

Aujourd’hui, les portefeuilles des investisseurs sont dominés, dans la majorité des cas, par le risque action et plus particulièrement par les actions américaines. Des rendements historiquement plus élevés des actions et la composition de l’indice MSCI World, qui accorde un poids supérieur à 60% aux Etats-Unis, peuvent expliquer cet état de fait. En outre, les marchés actions américains avec une performance cumulée de plus de 260 % lors de la dernière décennie ont nettement surperformé les autres places.

Les performances sur les quatre premiers mois de 2021 confortent ce résultat avec une nette surperformance des actions US (MSCI USA +10,7 %) sur les autres zones et les autres actifs (MSCI Asia +3,22 % et Bloomberg Barclays MSCI Global Aggregate Crédit -2,46 %).

Qu’advient-il de la diversification qui permet en théorie d’être exposé à de multiples actifs risqués tout en diminuant le risque de portefeuille et qui, correctement mise en place, a permis, par le passé, de traverser de mul..

Le Cac 40 se reprend après sa chute de vendredi et revient sur les 6.600 points

La Bourse de Paris s’est ressaisie grâce au rebond de Wall Street. La question du changement de cap monétaire aux Etats-Unis reste dans toutes les têtes.

En ce premier jour de l’été, un rayon de soleil a pointé le bout de son nez et permis au Cac 40 de terminer en hausse de 0,51%, à 6.602,54 points, après une baisse prononcée de 1,46% vendredi. L’indice parisien a été soutenu par le rebond de Wall Street, où le Dow Jones prend 1,5% et le Nasdaq Composite 0,7%.

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Par : Les Echos | Votez pour cette source

USA Today : Programme d’infrastructures américain, où en est-on ?

Ce lundi 21 juin, dans sa chronique USA Today, Gregori Volokhine, président de Meeschaert Financial Services à New York, s’est penché sur l’avancement du programme d’infrastructures américain. Cette chronique est à voir ou écouter du lundi au vendredi dans l’émission BFM Bourse présentée par Guillaume Sommerer sur BFM Business.

Par : Meeschaert | Votez pour cette source

Chine / USA: vers un monde bipolaire

La Chine pourrait devenir la première puissance économique d’ici 2030, estime Didier Borowski d’Amundi.

C’est l’histoire de deux superpuissances antagonistes. Mais aussi très interdépendantes. Leurs superficies sont identiques et elles produisent les deux PIB les plus élevés au monde. Assoiffée de revanche suite aux humiliations subies au XIXe siècle, la Chine occupe aujourd’hui une position géostratégique clé : au centre du nouveau monde asiatique en pleine croissance, sa zone d’influence naturelle. De leur côté, les États-Unis ne comptent pas renoncer à la domination acquise après la Seconde Guerre mondiale. Pour Didier Borowski, Responsable Global Views chez Amundi, leur rivalité provoquera des à-coups imprévisibles sur la volatilité des marchés d’actions et de devises. Entretien.

Après les années Trump, comment l’arrivée de Biden à la Maison-Blanche marque-t-elle un tournant dans la politique étrangère américaine?
Les années Trump ont profondément marqué les relations internation..

France : la consommation relance la croissance

Actualités – Cette semaine, la Banque de France mesure le retour de la consommation des ménages dans ses projections macroéconomiques. Comment se profile le retour de la croissance en France d’ici la fin de l’année ? Quelles perspectives de sortie de crise à moyen terme ? Le point avec Le Courrier Financier.

Juste avant l’été, l’économie française revient-elle au beau fixe ? Ce lundi 14 juin, la Banque de France a publié ses projections macroéconmiques mensuelles. L’institution revoit à la hausse ses prévisions de croissance. Le PIB devrait progresser de 5,75 % en 2021, au lieu des 5,5 % prévus précédemment. C’est au-dessus de la moyenne de la zone euro, évaluée à 4,6 % par la Banque centrale européenne (BCE). La croissance du PIB devrait s’établir à 4 % en 2022, puis redescendre à 2 % en 2023. Ceci en raison de « pertes de productivité associées à la crise sanitaire » plus limitées que prévu, mais aussi du retour de la consommation.

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Ikea et Rockefeller donnent un milliard pour les énergies renouvelables dans les pays émergents

Les fondations Ikea et Rockefeller vont débourser, cette année, 500 millions de dollars de capital-risque chacune. Elles comptent sur des organisations internationales pour débloquer la somme restante, et espèrent attirer des entreprises privées dans un deuxième temps.

Les fondations Ikea et Rockefeller s’allient pour lutter contre le changement climatique et la précarité énergétique. Les deux entités débourseront chacune 500 millions de dollars, afin de créer une plateforme dédiée à des investissements dans des projets d’énergies renouvelables dans les pays émergents.

En plus du milliard ainsi levé, ils espèrent attirer 10 milliards de dollars d’investissements supplémentaires de la part d’agences de développement, rapporte le « Financial Times » . Les deux fondations misent sur des projets décentralisés, tels que des « mini-réseaux » qui alimentent une poignée de maisons en électricité avec des panneaux solaires, ou des micro-installations hydrauliques.

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Par : Les Ec..

ECB meeting in June: No change, no comment and a target miss

The outcome of the 10 June meeting of the ECB’s Council was no change in the stance (the pace of asset purchases) for the moment; no comment on the overall strategy, or more precisely, no acknowledgement that the pandemic QE programme will be scaled back next year; and still no realistic prospect that core inflation will get back to 2% anytime soon. Europe remains stuck in the low-flation rut.

The latest meeting of the European Central Bank’s Governing Council confirmed its very accommodative monetary policy, leaving its short-term stance unchanged: bond purchases will continue at a ‘significantly higher pace’ for the next three months relative to what was delivered in the first quarter of the year.

FINANCIAL CONDITIONS SHALL REMAIN LOOSE
The Council argues that financial conditions have “remained broadly stable,” but still worries about the possibility of a ‘premature’ tightening in conditions that “would pose a risk to the ongoing economic recovery and the outlook for inflation” – ..

Pétrole, potasse… les piliers de l’économie du Belarus dans le collimateur de l’UE !

Produits pétroliers, potasse… Les deux postes d’exportations phares du Belarus sont visées par l’UE, face à la répression continue de l’opposition depuis un an et suite au vol détourné Ryanair.

Minsk est dans le viseur de Bruxelles. L’UE a lancé aujourd’hui une offensive contre les produits pétroliers et la potasse du Bélarus, deux exportations phares du pays. Les 27 membres de l’UE ne sont cependant pas parmi les principaux clients pour ces produits du Bélarus, dont l’économie reste très largement sous contrôle de l’Etat et dépendante de la Russie, plus de trente ans après la dissolution de l’URSS. Selon les statistiques de la Banque mondiale, le Bélarus est le deuxième exportateur mondial, derrière le Canada, d’engrais à base de potasse, des ventes qui représentaient 2,8 milliards de dollars (en 2018), une source importante de devises donc. Le groupe public bélarusse Belaruskali est même l’un des plus grands producteurs mondiaux de potasse. L’entreprise affirme produire environ un c..

Les fonds «verts» pas si verts, selon Inrate

Le cabinet de notation spécialisé dans le domaine ESG publie une étude comparative entre les fonds durables et les conventionnels.

Alors que grandit l’appétit des détenteurs de capitaux pour les placements répondant à des critères environnementaux, sociétaux et de gouvernance, les fonds estampillés «ESG» n’injectent guère plus d’argent dans une économie climatiquement vertueuse que les véhicules conventionnels.

«Il semble que, dans l’ensemble, les fonds durables ne démontrent une efficacité que pour le désengagement de sociétés impliquées dans des controverses environnementales majeures et non en termes d’amélioration de l’impact du portefeuille sur le climat et la durabilité», résume le cabinet de notation spécialisé dans le domaine ESG Inrate dans une étude publiée lundi.

Mandatée par Greenpeace, l’agence genevo-zurichoise s’est penchée sur une cinquantaine de fonds durables proposés par des banques de détail et autorisés à la distribution en Suisse et au Luxembourg, et comparés à..