Le Congrès national du peuple chinois (CNP) a fixé l’objectif de croissance annuelle à plus de 6%

Le Congrès a fixé l’objectif de croissance annuelle à plus de 6%, confirmant une politique prudente et maîtrisée de réduction progressive des dépenses en 2021.

La politique budgétaire devrait se faire moins expansionniste, en mettant davantage l’accent sur l’efficacité et la durabilité. Le déficit budgétaire global a été fixé à 3,2%, soit légèrement moins que les 3,6% de 2020. L’orientation de la politique monétaire a peu évolué par rapport à décembre dernier. Toute éventuelle mesure de soutien restera sans doute ciblée, et pourrait prendre la forme d’un programme de prêts aux PME ou d’une baisse sélective du ratio des réserves obligatoires (RRR) pour les banques dont le profil de financement est plus favorable à l’économie réelle. Les probabilités de hausse des taux restent faibles cette année.

Le CNP a approuvé le 14e plan quinquennal (2021-25) et les objectifs à long terme jusqu’en 2035. Ce plan, visant à davantage d’autonomie, fait de l’innovation, de la R&D et de l’amélioration ..

Éclairage : le bitcoin à la conquête de la clientèle patrimoniale

Alors que le cours du bitcoin flambe, de grands acteurs de la finance portent un intérêt marqué à cette monnaie virtuelle. La réglementation reste un frein au développement des supports exposés à cet actif très volatil.

La nouvelle a fait du bruit, tant dans l’univers geek des amateurs de cryptomonnaies que dans celui, plus feutré, des professionnels de la finance. BlackRock, numéro un mondial de la gestion d’actifs, a mis à jour aux Etats-Unis les prospectus de deux de ses fonds, pour pouvoir investir dans le bitcoin, plus précisément dans des produits dérivés de celui-ci. Cet événement reflète une évolution de la position des grandes maisons à l’égard de la plus célèbre des cryptomonnaies. La banque américaine JP Morgan Chase a ainsi évalué que le cours du bitcoin pourrait atteindre 146 000 dollars sur le long terme, alors même que son patron, Jamie Dimon, considérait cette monnaie virtuelle, fin 2017, comme une « escroquerie ».

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Source : Option Finance par Aurélie FA..

Semi-conducteurs : la pénurie et la hausse des prix pourrait durer

61 milliards de dollars de ventes : c’est potentiellement le manque à gagner pour l’industrie automobile en 2021 en raison de la pénurie de semi-conducteurs. Désormais conçues comme des plateformes logicielles ultra connectées, les nouvelles générations de véhicules requièrent des puces, microcontrôleurs et capteurs de plus en plus sophistiqués. Parallèlement, l’électrification de la motorisation accroit la densité électronique des véhicules. A ce moment crucial de l’évolution des modes de transports, la pandémie a rabattu les cartes. Dès le premier trimestre 2020, les constructeurs automobiles ont privilégié la prudence en réduisant leurs achats afin de diminuer leur besoin en fonds de roulement et préserver leur génération de trésorerie. Au moment de la remontée en cadence des lignes de production, les stocks de semi-conducteurs n’ont pu être reconstitués : la chaine logistique reste meurtrie par la crise (les fabricants peinent à se procurer les galettes de silicium et les condensat..

Remontée mécanique des prix

Il n’est pas certain que l’ancien président de la Buba, Karl Otto Pohl, dirait aujourd’hui que « l’inflation, c’est comme la pâte à dentifrice. Une fois qu’elle est sortie, il est impossible de l’y faire rentrer. »

Tout d’abord parce que le contexte a excessivement changé. En effet, même si nous nous attendons à une remontée mécanique des prix dans la zone Euro en 2021 (à 1,4% en moyenne) et en Allemagne (à 1,4%), nous nous situerons très loin des niveaux observés pendant la présidence de Monsieur Pohl (2,9% en moyenne en Allemagne sur la période 1980-1991). Ensuite, c’est la nature même de l’inflation qu’il convient de suivre de près. Ainsi, si les craintes d’accélération de l’inflation provoquent des remous sur les marchés obligataires, la situation ne nous semblent pas hors de contrôle. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder le dernier rapport sur l’inflation aux États-Unis. L’analyse détaillée nous montre que la principale contribution à cette hausse des prix à la consommatio..

La hausse sur le prix des matières premières est conjoncturelle et non structurelle

Si la thèse d’un super-cycle ne nous semble pas la plus probable, cela ne contredit pas toutefois la hausse “conjoncturelle” puissante du cours des matières premières.

Certains analystes envisagent que l’après-Covid soit marqué par une hausse structurelle des matières premières, évoquant même la perspective d’un » super-cycle » haussier. Dans l’analyse économique, le terme de » super-cycle » renvoie à un phénomène de long terme : cela correspond à un cycle d’une durée entre 20 et 70 ans (soit des phases haussières comprises entre 10 et 35 ans) associé à une évolution fondamentale majeure, de type révolution technologique. Ce faisant les » super-cycles » incluent autant les cycles d’investissement de Kuznets (d’une durée de 15-30 ans) que les cycles d’innovation de Kondratieff (de durée entre 40 et 60 ans).

Nous avons déterminé les » super-cycles » sur les matières premières1 et notre analyse nous conduit à deux observations :

D’une part, ces cycles sont clairement plus synchrones de..

Les jeunes Américains veulent investir en Bourse leur chèque du plan de relance

Une enquête de la Deutsche Bank a donné un aperçu de la quantité d’argent liquide provenant des chèques du plan de relance qui pourrait se retrouver sur les marchés. Les Américains seraient prêts, en moyenne, à y allouer 37% de ces chèques de 1.400 dollars, soit plus de 150 milliards au total.

Nouveau tsunami de liquidités en vue sur les marchés actions. Alors que le nouveau vaste stimulus budgétaire (à 1.900 milliards de dollars) adopté ce jeudi par le Congrès américain prévoit l’envoi de chèques de 1.400 dollars, une large portion de ceux-ci devraient se déverser sur les marchés actions, selon une étude de la Deutsche Bank datant de fin février.

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Source : BFM Bourse

La Collection Meeschaert accueille une lithographie du célèbre graffeur britannique Banksy dans ses murs

La Collection Meeschaert accueille une lithographie du célèbre graffeur britannique Banksy dans ses murs. Découvrez « Di-Faced Tenner », un billet de 10 livres anglaises qui a été détourné de manière parodique.
Avec Di-Faced Tenner, issues de la « Banksy of England », l’artiste parodie les billets de 10 livres anglaises en représentant au recto le visage de la princesse Diana, et au verso un portait de Darwin. Sous celui-ci est inscrit « Trust no one », ce qui signifie « Ne fais confiance à personne ». Produits en 2004, ces billets ont été dispersés sur le public de Nothing Hill et du Reading Festival. Le jeu de mots sur « Defaced » vient du fait que Banksy a substitué le visage de la Reine d’Angleterre avec celui de la princesse. Les Di-Faced Tenner nous amène donc à repenser la valeur de l’argent et le coût de la richesse et du pouvoir en fonction de la façon dont cela nous affecte en tant qu’individu et société.

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Source : Meeschaert

Bourse : les publications d’entreprises à suivre du 15 au 31 mars 2021

Pour la plupart des grandes sociétés, la saison des résultats annuels est terminée. Mais ce n’est pas le cas des petites et moyennes capitalisations. Découvrez le calendrier des principales publications prévues entre le 15 et le 31 mars.
Alors que la Bourse parisienne renoue avec ses niveaux d’avant crise, la saison des résultats annuels se poursuit, principalement avec les comptes des petites et moyennes entreprises cotées. Parmi les publications des prochains jours à retenir : Iliad et Orpea le 16 mars, Beneteau et Virbac le 17 mars, Wendel le 18 etc. Découvrez ci-dessous le calendrier des publications entre le 15 et le 31 mars 2021 (sous réserve de modifications des dates par les sociétés).

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Source : Le Revenu Par Kamel Boudebza

Les investisseurs espèrent que Powell saura trouver les mots

Il sera difficile en ce début de semaine d’échapper aux pronostics sur la teneur de la décision de politique monétaire de la banque centrale américaine prévue mercredi. Les financiers espèrent que Jerome Powell trouvera les mots pour que la hausse des actions se poursuive et que le marché obligataire se calme. Autant dire que la tâche de la Fed est complexe. En France, c’est un Emmanuel qui fait les gros titres, mais pas celui de l’Elysée, celui de Danone.

Source : Zonebourse

Les SPAC : le nouvel avatar de l’excès de monnaie

Les influenceurs : ces “amis” qui font du commerce
Vous connaissez Mcfly et Carlito ? sans doute maintenant que le président de la république a décidé d’utiliser ces « vidéocasteurs » pour se positionner sur le segment des jeunes de moins de 25 ans en vue de la présidentielle de l’année prochaine. ses services de communication ont trouvé le moyen de lui assurer une présence sur la chaîne youtube de Mcfly et Carlito qui compte 6 millions d’abonnés : en contrepartie d’un clip traitant des célèbres gestes barrière, il s’engageait à tourner une vidéo souvenir avec ces « influenceurs ». la condition posée par les services de l’Élysée – 10 millions de vue de la vidéo geste barrière – était gagnée d’avance. en cinq jours, elle avait été vue 13 millions de fois.

L’auteur de cette chronique a, comme pas mal de ses lecteurs on l’imagine, découvert à cette occasion ces messieurs et même plus largement les influenceurs. m. macron n’est qu’un exemple : il s’agit d’un support de promotion et de com..