Investissements forestiers : touchez du bois !

Selon la Fédération Nationale des Safer (FNSafer), les investissements forestiers connaissent une belle dynamique en France. Alors que le prix moyen d’un hectare de forêt non bâtie était de 4 190 euros en 2019 (-1,1 % par rapport à 2018), les échanges et les niveaux de transactions ne cessent d’augmenter, notamment sur le marché des petites forêts (1 à 10 ha). Si les principaux investisseurs sont les personnes morales privées, les Groupements Forestiers d’Investissement (GFI) ont également le vent en poupe.

Si vous souhaitez vous engager durablement et sortir des marchés financiers, sachez que miser sur la forêt constitue une bonne piste vers la diversification, à condition de ne pas en attendre un rendement annuel très élevé. Car oui, l’achat d’une parcelle de bois ou d’un bosquet est un investissement de capitalisation qui doit être pensé sur du (très) long terme, c’est-à-dire au moins dix ans, et prendre en compte le contexte financier et fiscal de cet investissement « atypique ».
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La remontée des taux n’est pas pour déplaire aux Banques Centrales

Le contexte sanitaire
L’efficacité des vaccins ne fait plus de doutes. Dans les pays ayant vacciné massivement, la situation sanitaire s’améliore nettement et les cas sévères de Covid diminuent. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont un rythme de vaccination impressionnant avec plus de 4% de la population vaccinée chaque semaine. La campagne de vaccination européenne est toujours aussi lente, mais elle devrait s’accélérer franchement au cours du deuxième trimestre. L’UE ne pourra plus se cacher derrière l’excuse de capacités de production insuffisantes puisque selon McKinsey près de 14 milliards de doses pourraient être disponibles d’ici la fin d’année dans le monde.

Le contexte économique
Comme l’a confirmé récemment l’OCDE, la croissance mondiale continue d’accélérer mais c’est surtout le cas aux Etats-Unis. D’ailleurs, la croissance chinoise montre des signes de ralentissement et les surprises économiques du pays commencent à décevoir. Ce ralentissement observé est à nuancer car les ..

La sortie de crise s’écrira avec plus d’inflation

Aujourd’hui, le débat sur l’inflation suggère que celle-ci ne pourra en aucun cas être la source d’ajustement souhaitée à l’échelle macroéconomique, soit parce que l’inflation est perçue comme ne pouvant pas revenir, soit parce que le retour de l’inflation aurait des conséquences trop périlleuses pour l’équilibre macroéconomique et financier.

Mais se priver de l’inflation, c’est se priver d’une variable d’ajustement macroéconomique importante historiquement. La réticence à utiliser l’inflation comme instrument d’ajustement macroéconomique résulte de deux phénomènes observés pendant les périodes où l’inflation était plus élevée.

L’inflation ne serait plus un instrument d’ajustement macroéconomique… parce qu’elle crée de l’incertitude
L’inflation crée de l’incertitude puisqu’un taux d’inflation plus élevé dans la durée provoque une volatilité plus forte de l’inflation. Lorsque l’inflation est forte, la volatilité l’est aussi alors que lorsque l’inflation est réduite, sa volatilité est ..

La FED a plus de marge que la BCE mais son problème est finalement comparable dans cette crise : gérer la disparité

Comme en témoigne la journée boursière du jeudi 18 mars, c’est la volatilité qui prime actuellement, en lien direct avec la volatilité sanitaire et économique.

Certes, les taux américains continuent de grimper mais c’est essentiellement par des prises de positions dérivées spéculatives, ce qui n’est donc pas forcément durable : quelques journées de baisse du marché des actions (-3% pour le Nasdaq) suffiraient à changer la donne et la teneur des articles et autres analyses qui continuent de fleurir sur la hausse des taux…

Un mot cette semaine sur la FED pour apporter quelques nuances à la hausse de taux récente et la propension de Monsieur Powell à ‘laisser faire’ plutôt qu’à tenter de calmer des velléités de correction obligataire des marchés financiers.

Le rôle essentiel des banques centrales dans les moments de crise est de rétablir la confiance et de stabiliser le système monétaire et financier ; pour ce faire elles ont deux outils : la parole et l’action.

La parole joue essenti..

Les marchés cherchent-ils à provoquer la Fed ?

Malgré le message accommodant de la Fed, les bons du Trésor américain à 10 ans se sont hissés jusqu’à 1.75%. Est-on désormais dans un bras de fer entre les marchés et la banque centrale américaine ? Le point de vue de John Plassard, spécialiste en investissement chez Mirabaud. Ecorama du 19 mars 2021, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com

Source : Boursorama

Accompagner les petites et moyennes entreprises françaises et participer a la relance de l’économie

Les petites et moyennes entreprises, principaux acteurs de la relance.

La reprise économique à l’œuvre, après le choc conjoncturel et sanitaire historique de 2020, apparaît favorable aux petites et moyennes valeurs, qui ont tendance à surperformer les autres classes d’actifs dans cet environnement.

Historiquement, il existe une corrélation positive entre l’amélioration des indicateurs de l’activité manufacturière et la performance de ces entreprises. Elles profitent d’une part d’une exposition plus importante aux valeurs cycliques et industrielles, grandes gagnantes du rebond de la croissance économique, et d’autre part elles sont protégées contre une baisse du dollar. Surtout, elles bénéficieront pleinement des plans de relance nationaux mis en place par les gouvernements européens.

De plus, les petites et moyennes valeurs sont des entreprises de niche, qui connaissent des taux de croissance plus élevés que les autres valeurs. Elles opèrent dans des secteurs, à forte valeur ajoutée..