L’économie chinoise se redresse… et c’est reparti ?

La situation en Chine en ce début d’année 2021 semble radicalement opposée à celle observée l’an dernier à la même époque. L’an dernier, l’économie chinoise était chancelante au premier trimestre en raison du début de l’épidémie de Covid-19 et des mesures restrictives destinées à l’endiguer. En revanche, cette année elle semble prospérer. Le PIB et les exportations de la Chine ont renoué avec leur trajectoire antérieure à la pandémie, une situation qui tranche avec celle observée dans la plupart des économies occidentales, qui restent engluées dans le marasme engendré par le Covid-19. La Chine est-elle en train de reprendre son ascension irrésistible qui en fera la principale puissance économique mondiale ?

Comme toujours, les chiffres officiels occultent une réalité légèrement différente. La conjoncture économique en Chine est indéniablement plus dynamique que dans les autres pays mais la croissance est désormais alimentée par d’autres moteurs qu’avant la pandémie. La mondialisation ..

L’économie chinoise se redresse… et c’est reparti ?

La situation en Chine en ce début d’année 2021 semble radicalement opposée à celle observée l’an dernier à la même époque. L’an dernier, l’économie chinoise était chancelante au premier trimestre en raison du début de l’épidémie de Covid-19 et des mesures restrictives destinées à l’endiguer. En revanche, cette année elle semble prospérer. Le PIB et les exportations de la Chine ont renoué avec leur trajectoire antérieure à la pandémie, une situation qui tranche avec celle observée dans la plupart des économies occidentales, qui restent engluées dans le marasme engendré par le Covid-19. La Chine est-elle en train de reprendre son ascension irrésistible qui en fera la principale puissance économique mondiale ?

Comme toujours, les chiffres officiels occultent une réalité légèrement différente. La conjoncture économique en Chine est indéniablement plus dynamique que dans les autres pays mais la croissance est désormais alimentée par d’autres moteurs qu’avant la pandémie. La mondialisation ..

Le deuxième trimestre apportera des réponses sur l’expérimentation américaine

Marchés : Le trimestre qui vient sera crucial pour les marchés. Certes la saison de résultats qui commence nous donnera des indications sur la dynamique des bénéfices et sur les projections des entreprises sur les trimestres à venir, même si certaines pourraient continuer de s’abstenir de trop s’engager sur l’avenir, devant les inconnues qui persistent sur la ou plutôt les reprises au niveau mondial. En fait, c’est en ce deuxième trimestre que nous devrions trouver la réponse au rebond de la Zone Euro et donc à sa capacité d’avoir pu maîtriser la nouvelle vague de contagions qu’elle subit aujourd’hui, tout en ayant été capable d’accélérer de manière nette ses vaccinations. Une réponse positive, viendra valider l’optimisme des marchés et le nôtre. Dans le cas contraire, scénario auquel nous donnons une probabilité bien plus faible, l’impact négatif sur certains marchés et valeurs serait très marqué. Mais, c’est assurément sur les Etats-Unis que les regards seront tournés afin de trouver..

Le deuxième trimestre apportera des réponses sur l’expérimentation américaine

Marchés : Le trimestre qui vient sera crucial pour les marchés. Certes la saison de résultats qui commence nous donnera des indications sur la dynamique des bénéfices et sur les projections des entreprises sur les trimestres à venir, même si certaines pourraient continuer de s’abstenir de trop s’engager sur l’avenir, devant les inconnues qui persistent sur la ou plutôt les reprises au niveau mondial. En fait, c’est en ce deuxième trimestre que nous devrions trouver la réponse au rebond de la Zone Euro et donc à sa capacité d’avoir pu maîtriser la nouvelle vague de contagions qu’elle subit aujourd’hui, tout en ayant été capable d’accélérer de manière nette ses vaccinations. Une réponse positive, viendra valider l’optimisme des marchés et le nôtre. Dans le cas contraire, scénario auquel nous donnons une probabilité bien plus faible, l’impact négatif sur certains marchés et valeurs serait très marqué. Mais, c’est assurément sur les Etats-Unis que les regards seront tournés afin de trouver..

Chiffres-clés de la gestion d’actifs en France, zoom sur les encours

L’AMF a compilé les chiffres clés, arrêtés au 31/12/2019 de la gestion d’actifs en France. Zoom annuel sur les encours gérés, analysés en volumes, dans leur évolution, et par typologie de fonds, en y appliquant le filtre de la gestion sous mandat et de la gestion collective.

Après le repli marqué des encours sur l’année 2018, les sociétés de gestion de portefeuille françaises atteignent un niveau de 4 110 milliards d’euros d’encours gérés en 2019, en hausse de 11,9% par rapport à l’année précédente. L’augmentation en gestion collective s’explique par un « effet marché positif » de 108 milliards d’euros sur l’année, l’effet collecte étant pour sa part nul.

Quelques repères utiles, concernant ce niveau, qui atteignait 2 347 Milliards d’euros en 2005, 2 905 Milliards d’euros en 2010, et 3 458 Milliards d’euros en 2015.

Ces 4 110 Milliards d’euros se répartissent de la façon suivante :

A – 1 705 Milliards d’euros en gestion sous mandat, soit une augmentation de près de 600 milliards d’..

Chiffres-clés de la gestion d’actifs en France, zoom sur les encours

L’AMF a compilé les chiffres clés, arrêtés au 31/12/2019 de la gestion d’actifs en France. Zoom annuel sur les encours gérés, analysés en volumes, dans leur évolution, et par typologie de fonds, en y appliquant le filtre de la gestion sous mandat et de la gestion collective.

Après le repli marqué des encours sur l’année 2018, les sociétés de gestion de portefeuille françaises atteignent un niveau de 4 110 milliards d’euros d’encours gérés en 2019, en hausse de 11,9% par rapport à l’année précédente. L’augmentation en gestion collective s’explique par un « effet marché positif » de 108 milliards d’euros sur l’année, l’effet collecte étant pour sa part nul.

Quelques repères utiles, concernant ce niveau, qui atteignait 2 347 Milliards d’euros en 2005, 2 905 Milliards d’euros en 2010, et 3 458 Milliards d’euros en 2015.

Ces 4 110 Milliards d’euros se répartissent de la façon suivante :

A – 1 705 Milliards d’euros en gestion sous mandat, soit une augmentation de près de 600 milliards d’..