Yves Perrier : Amundi met la main sur Lyxor

Ce jeudi 8 avril, Yves Perrier, directeur général d’Amundi, est revenu sur le rachat de Lyxor par Amundi,dans l’émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn. Good Morning Business est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.

Source : BFM Business

Yves Perrier : Amundi met la main sur Lyxor

Ce jeudi 8 avril, Yves Perrier, directeur général d’Amundi, est revenu sur le rachat de Lyxor par Amundi,dans l’émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn. Good Morning Business est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.

Source : BFM Business

L’AMF et l’ACPR encouragent les professionnels de l’assurance, la banque et la finance à exercer une vigilance renforcée à l’égard des personnes âgées vulnérables

L’Autorité des marchés financiers (AMF) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) publient le rapport de synthèse des travaux de Place sur la commercialisation de produits financiers auprès d’une clientèle âgée vulnérable. Les échanges ont fait émerger des pistes de réflexion et d’action permettant de s’assurer du consentement éclairé de ces personnes et d’éviter une inadéquation du conseil fourni.

Au sein du Pôle commun, l’AMF et l’ACPR ont lancé en 2018 des travaux sur la commercialisation des produits financiers à destination des personnes âgées vulnérables. Un document de réflexion intitulé « Pratiques de commercialisation et populations vieillissantes : comment faire face au déclin cognitif des personnes âgées dans le cadre de la relation-client », a été soumis à consultation publique, la synthèse des réponses ayant été publiée en juin 2019.

Un groupe de travail de Place, rassemblant une trentaine d’acteurs de tous horizons (établissements bancaires, organisme..

L’AMF et l’ACPR encouragent les professionnels de l’assurance, la banque et la finance à exercer une vigilance renforcée à l’égard des personnes âgées vulnérables

L’Autorité des marchés financiers (AMF) et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) publient le rapport de synthèse des travaux de Place sur la commercialisation de produits financiers auprès d’une clientèle âgée vulnérable. Les échanges ont fait émerger des pistes de réflexion et d’action permettant de s’assurer du consentement éclairé de ces personnes et d’éviter une inadéquation du conseil fourni.

Au sein du Pôle commun, l’AMF et l’ACPR ont lancé en 2018 des travaux sur la commercialisation des produits financiers à destination des personnes âgées vulnérables. Un document de réflexion intitulé « Pratiques de commercialisation et populations vieillissantes : comment faire face au déclin cognitif des personnes âgées dans le cadre de la relation-client », a été soumis à consultation publique, la synthèse des réponses ayant été publiée en juin 2019.

Un groupe de travail de Place, rassemblant une trentaine d’acteurs de tous horizons (établissements bancaires, organisme..

Taux de défaut : l’heure du bilan après un an de crise sanitaire

Le risque de non-remboursement est inhérent aux emprunts High Yield, mais ce risque est souvent surestimé. Les 12 derniers mois en ont été la parfaite illustration. Malgré une crise sans précédent, les défauts n’ont connu qu’une hausse modérée. Ils sont désormais attendus en baisse.

Il s’agit de la principale crainte des investisseurs sur le segment obligataire High Yield : ne pas être remboursés si l’émetteur devient insolvable. Pourtant, un tel événement est rare. Entre 2012 et 2019, seuls 3 à 4 défauts en moyenne ont été observés par an dans l’univers des titres High Yield libellés en euros. Il s’agit par ailleurs de défauts souvent partiels : toujours entre 2012 et 2019, le taux de recouvrement moyen a été compris entre 35% et 55% selon la séniorité des obligations.

Le risque n’est pas nul pour autant, ce qui se traduit par des rendements plus élevés sur ce segment de marché. En effet, une prime (« spread » de crédit) est appliquée pour compenser le risque lié aux pertes potentie..

Taux de défaut : l’heure du bilan après un an de crise sanitaire

Le risque de non-remboursement est inhérent aux emprunts High Yield, mais ce risque est souvent surestimé. Les 12 derniers mois en ont été la parfaite illustration. Malgré une crise sans précédent, les défauts n’ont connu qu’une hausse modérée. Ils sont désormais attendus en baisse.

Il s’agit de la principale crainte des investisseurs sur le segment obligataire High Yield : ne pas être remboursés si l’émetteur devient insolvable. Pourtant, un tel événement est rare. Entre 2012 et 2019, seuls 3 à 4 défauts en moyenne ont été observés par an dans l’univers des titres High Yield libellés en euros. Il s’agit par ailleurs de défauts souvent partiels : toujours entre 2012 et 2019, le taux de recouvrement moyen a été compris entre 35% et 55% selon la séniorité des obligations.

Le risque n’est pas nul pour autant, ce qui se traduit par des rendements plus élevés sur ce segment de marché. En effet, une prime (« spread » de crédit) est appliquée pour compenser le risque lié aux pertes potentie..

L’économie chinoise se redresse… et c’est reparti ?

La situation en Chine en ce début d’année 2021 semble radicalement opposée à celle observée l’an dernier à la même époque. L’an dernier, l’économie chinoise était chancelante au premier trimestre en raison du début de l’épidémie de Covid-19 et des mesures restrictives destinées à l’endiguer. En revanche, cette année elle semble prospérer. Le PIB et les exportations de la Chine ont renoué avec leur trajectoire antérieure à la pandémie, une situation qui tranche avec celle observée dans la plupart des économies occidentales, qui restent engluées dans le marasme engendré par le Covid-19. La Chine est-elle en train de reprendre son ascension irrésistible qui en fera la principale puissance économique mondiale ?

Comme toujours, les chiffres officiels occultent une réalité légèrement différente. La conjoncture économique en Chine est indéniablement plus dynamique que dans les autres pays mais la croissance est désormais alimentée par d’autres moteurs qu’avant la pandémie. La mondialisation ..

L’économie chinoise se redresse… et c’est reparti ?

La situation en Chine en ce début d’année 2021 semble radicalement opposée à celle observée l’an dernier à la même époque. L’an dernier, l’économie chinoise était chancelante au premier trimestre en raison du début de l’épidémie de Covid-19 et des mesures restrictives destinées à l’endiguer. En revanche, cette année elle semble prospérer. Le PIB et les exportations de la Chine ont renoué avec leur trajectoire antérieure à la pandémie, une situation qui tranche avec celle observée dans la plupart des économies occidentales, qui restent engluées dans le marasme engendré par le Covid-19. La Chine est-elle en train de reprendre son ascension irrésistible qui en fera la principale puissance économique mondiale ?

Comme toujours, les chiffres officiels occultent une réalité légèrement différente. La conjoncture économique en Chine est indéniablement plus dynamique que dans les autres pays mais la croissance est désormais alimentée par d’autres moteurs qu’avant la pandémie. La mondialisation ..

Le deuxième trimestre apportera des réponses sur l’expérimentation américaine

Marchés : Le trimestre qui vient sera crucial pour les marchés. Certes la saison de résultats qui commence nous donnera des indications sur la dynamique des bénéfices et sur les projections des entreprises sur les trimestres à venir, même si certaines pourraient continuer de s’abstenir de trop s’engager sur l’avenir, devant les inconnues qui persistent sur la ou plutôt les reprises au niveau mondial. En fait, c’est en ce deuxième trimestre que nous devrions trouver la réponse au rebond de la Zone Euro et donc à sa capacité d’avoir pu maîtriser la nouvelle vague de contagions qu’elle subit aujourd’hui, tout en ayant été capable d’accélérer de manière nette ses vaccinations. Une réponse positive, viendra valider l’optimisme des marchés et le nôtre. Dans le cas contraire, scénario auquel nous donnons une probabilité bien plus faible, l’impact négatif sur certains marchés et valeurs serait très marqué. Mais, c’est assurément sur les Etats-Unis que les regards seront tournés afin de trouver..

Le deuxième trimestre apportera des réponses sur l’expérimentation américaine

Marchés : Le trimestre qui vient sera crucial pour les marchés. Certes la saison de résultats qui commence nous donnera des indications sur la dynamique des bénéfices et sur les projections des entreprises sur les trimestres à venir, même si certaines pourraient continuer de s’abstenir de trop s’engager sur l’avenir, devant les inconnues qui persistent sur la ou plutôt les reprises au niveau mondial. En fait, c’est en ce deuxième trimestre que nous devrions trouver la réponse au rebond de la Zone Euro et donc à sa capacité d’avoir pu maîtriser la nouvelle vague de contagions qu’elle subit aujourd’hui, tout en ayant été capable d’accélérer de manière nette ses vaccinations. Une réponse positive, viendra valider l’optimisme des marchés et le nôtre. Dans le cas contraire, scénario auquel nous donnons une probabilité bien plus faible, l’impact négatif sur certains marchés et valeurs serait très marqué. Mais, c’est assurément sur les Etats-Unis que les regards seront tournés afin de trouver..